VIVRE EST UN DROIT

UN CHOMEUR, UN BOULOT,

ON SE CHERCHE, ON NE SE TROUVE PAS

Du boulot il n'y en a pas et pourtant il y a des employeurs qui ne trouvent pas de personnel. Passons les clichés, cela existe vraiment. S'il est vrai que l'on ne fera pas de miracle dans une société où ceux dirigent ou aspirent à diriger, car la place doit être intéressante, ne font rien pour que l'emploi trouve vraiment son essor, il est cependant possible de faire rencontrer ceux qui cherchent un emploi et ceux qui cherchent un salarié.

La critique est aisée mais l'art est difficile disait l'autre. Rassurez-vous je n'ai rien inventé. Il me semble cependant que certains se font élire, et ce n'est pas nouveau, avec de belles promesses sur lesquelles ils s'assieds ensuite.

Et si l'on définissait les moyens d'une aide efficace? Et si l'on définissait ensemble une politique de l'emploi pour les salariés, pour les employeurs et pour notre pays avec pour seule ambition : chacun pour tous. LIRE LA PAGE

Joël MASSUARD

QUAND LE GRAND SOIR VIENDRA

Un rève que l'on aurait pu faire voilà 60 ans et plus mais l'histoire nous a démontré qu'il ne faut pas confondre révolte et révolution. Elle nous a aussi appris que la vraie révolution ne se fait pas avec des armes et la violence mais plutôt avec une vraie conscience respectueuse des autres, une conviction impassible et imperturbable en la solidarité pour le bien être de tous et une véritable action organisée, collective et responsable pour créer et partager équitablement les richesses.

Le danger est grand car il est trop facile, quand tout va mal, de se laisser emporter par ceux qui donnent l'impression de dire tout haut ce que trop de gens pensent tout bas. Vous savez ceux qui, disciples idéologiques naturels de la pensée sélective, pratiquent la chaise vide dans les hémicycles juste pour ne pas assumer leurs contradictions.

Autant dire qu'il n'y aura pas « de grand soir » ou qu'il n'est pas souhaitable sauf s'il s'agit de poser les jalons d'une grande révolution culturelle, sociale et humaine pour que ces merveilleux termes : DEMOCRATIE, LIBERTE, EGALITE, FRATERNITE prennent enfin tout leur sens. Cela deviendra possible lorsque nous prendrons les rennes de la scène politique dans le calme et la dignité avec pour seule ambition : LE MEME DROIT DE VIVRE POURTOUS.

Joël MASSUARD

LA CRISE DU PROFIT POUR PROFITER DE LA CRISE: ça suffit!

A qui la faute? Pas plus à HOLLANDE qu'à SARKOZI, qu'à CHIRAC, qu'à MITERRAND, qu'à GISCARD,... Les gouvernement successifs ont toujours obéis à la puissance de l'argent de laquelle ils sont issus. On ne leur reprochera pas d'être "tombé dans la bassine à la naissance" car ce n'est assurément pas de leur faute. Mais on ne pourra tout de même pas les excuser de s'être fait élire pour le bien du peuple, pour la liberté, l'égalité et la fraternité puis d'avoir ensuite mené une politique d'austérité sous couvert d'économie. Ces politiques d'austérité, qu'elles aient été menée par Valéri 1er, François II, Jacques 1er, Nicolas 1er ou François III, ont consciencieusement et méthodiquement toujours suivi la même logique: asservir les familles modestes et les classes moyennes au profit de la puissance financière.

Nous ne pouvons pas rester simples spectateurs en espérant que ça s'arrangent. Rien ne changera si nous ne prenons pas les choses en main. Nos grands parents auraient-ils gagné les congés, la sécu et autres acquis sociaux en restant les deux pieds dans le même sabots ? Qu'avons nous fait de leurs luttent ? Comment en sommes nous arrivés là ?

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Joël MASSUARD